L’une des premières pages de "la possibilité d’une île" de
de Michel Houellebecq, son dernier roman paru fin 2005.
Très controversé comme le furent tous les autres.
Le propos d’une noirceur totale laisse peu des chances à l’espèce
humaine dont il nous montre la face la plus prédatrice qui soit.
Personnellement je pense que nous sommes là en présence d’une
écriture qui ne peut pas laisser indifférent.
Déprimés s’abstenir.
PS. C’est pourtant et paradoxalement un roman d’amour.
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